ah ben oui d’accord, finalement je comprends pourquoi il se dessine si gros

September 5th, 2006

Manu Larcenet, trouvé par hasard, sous une brique:

http://www.afnews.info/deposito/foto/angouleme2006melikian1/imagepages/image16.htm 

et surtout n’oubliez pas…

September 4th, 2006

http://thitho.allmansland.net/?p=48

je le rappellerai jusqu’au jour dit…

Amateur!

September 4th, 2006

“On se souviendra de l’Age des Professions comme de ce temps où la politique s’est étiolée tandis que, sous la houlette des professeurs, les électeurs donnaient à des technocrates le pouvoir de légiférer à propos de leurs besoins, l’autorité de décider qui a besoin de quoi, et le monopole des moyens par lesquels ces besoins seraient satisfaits. On s’en souviendra aussi comme de l’Age de la scolarité, âge où les gens, pendant un tiers de leur vie, étaient formés à accumuler des besoins sur ordonnance et, pour les deux autres tiers, constituaient la clientèle de prestigieux trafiquants de drogue qui entretenaient leur intoxication. On s’en souviendra comme de l’âge où le voyage d’agrément signifiait un déplacement moutonnier pour aller lorgner des étrangers, où l’intimité nécesitait de s’exercer à l’orgasme sous la direction de Masters et Johnson, où avoir une opinion consistait à répéter la dernière causerie télévisée, où voter était approuver un vendeur et lui demander de ‘remettre ça’.” (p.39)

Où l’on dénonce une démocratie qui refuse de reconnaître sa véritable nature…

“Le seul moyen d’arrêter l’escalade des besoins réside dans une dénonciation fondamentale, poilitique, des illusions qui légitiment l’hégémonie des professions.” (p. 46)

Où l’on ébauche le point d’appui du levier qui pourrait faire basculer quelques mythes économistes abusifs.

“Le travail, ce n’est plus la création d’une valeur perçue comme telle par le travailleur, mais avant tout une ‘place’, c’est-à-dire quelque chose qui vous situe socialement. Manquer de travail, c’est être tristement oisif, et non plus avoir la liberté de faire des choses utiles pour soi-même ou pour le voisin. La femme active qui tient la maison, élève ses enfants et, éventuellement, s’occupe de ceux des autres, est distinguée de la femme ‘qui travaille’, aussi inutile ou pernicieuse que puisse être la production à laquelle elle est employée. L’activité, l’effort, l’accomplissement, l’utilité hors du cercle des rapports hiérarchiques et non étalonnés professionnellement, représentent une menace pour une société du produit marchand. Tout en échappant à la comptabilité nationale, la création de valeurs d’usage ne limite pas seulement le besoin d’un surcroît de produits, mais aussi les postes de travail qui les élaborent et les salaires nécessités pour les acheter.” (p. 76)

Où l’on semble répéter des choses connues, mais que l’on prononçait en 1977.

Ivan ILLICH, Le chômage créateur, Postface à La convivialité, Paris, Seuil, 1977.

Auteur de Une société sans école, La Convivialité, Némésis médicale…

to be continued

Surtout ne le téléchargez pas!

September 3rd, 2006

Je trouvais ça juste tellement, heu… (nul? Non… Dans le vent? Boh… A la mode? Ah, pas loin… En tout cas ça me semblait refléter assez bien “l’esprit” yahoo…
Je ne sais pas… Mais bon, il y a un virus dedans, donc à ne pas télécharger. Mais lisez toujours la présentation ci-dessous ou ici.

Diner Dash 2: Restaurant Rescue

Venez rejoindre Flo alors qu’elle revient pour aider nos quatre propriétaires de restaurants à vaincre le cupide magnat Mr. Big. En travaillant aussi vite que jamais, Flo aide chacun de ses amis à actualiser leurs restaurants, accroître leurs affaires, et payer leur loyer, le tout dans l’espoir d’échapper à un désastreux Mega Multiplex Food Plaza pour toujours. Installez les clients à une table, servez des boissons, les plats, et ramassez les pourboires et des scores qui vous rapportent pour refaire la déco ! De nouveaux personnages originaux, de nouveaux défis et bonus en plus d’un restaurant surprise vous attendent dans la suite du grand jeu à succès. A la fin du jeu une grande surprise est là pour tous les fans de Flo, une récompense après une dure journée de travail.

Six heures pour la liberté d’expression…

September 1st, 2006

Je n’y serai pas, mais ce n’est pas une bonne raison pour que vous n’y alliez pas!!!

http://img83.imageshack.us/img83/1623/affichedo0.jpg

Le 9 septembre, le CLEA organise un quart de jour sur ce thème qui est en train d’être battu en brèche par nos chers gouvernements… Comment, pourquoi, et surtout comment combattre cette tendance… Voilà, voilà, demandez le programme!!! Ah ben il doit être ici:
 http://leclea.be

Un soupçon d’amertume…

August 23rd, 2006

Grèves, attentats, manifs, communautés, marches, squats, revendications, partis, journaux, contre-sommets, élections, médias, procès, enlèvements, enquêtes, mouvements, meurtres, réseaux, livres, réunions, fêtes, idées, gueulantes, actions, réappropriations, guérillas, …

Avant-garde et arrière-garde se confondent…

Où est passé l’armée? On dirait qu’elle a disparu…

I have a dream

August 23rd, 2006

Imaginons le succès de Marx s’il avait parlé de “démocratie du prolétariat” et de “dictature de la bourgeoisie”…

(Ouais bon, laisse tomber)

Roger Glover

August 22nd, 2006

Je me suis toujours demandé si c’était le même qui “jouait” dans les “Lethal weapon”… Ca paraît tellement pas possible quand on voit la connerie de ces films…

Et en fait, non… Rien à voir… Ce serait plutôt du côté de Deep Purple qu’il faut aller voir… Comme quoi… la culture, c’est comme les réservoirs: t’as beau être plein, tu la ramènes pas… (heu, ça veut dire quoi? Aucune idée)

Enfin, voici le texte de “Love is all”

Everybody’s got to live together
All the people got to understand
So, love your neighbour
Like you love your brother
Come on and join the band
Well, all you need is love and understanding
Ring the bell and let the people know
We’re so happy and we’re celebratin’
Come on and let your feelings show
Love is all, well love is all,
Love is all, can’t you hear the call
Oh, love is all you need
Love is all you need at the Butterfly Ball
Ain’t you happy that we’re all together
At the ball in nature’s countryside
And although we’re wearing different faces
Nobody wants to hide
Love is all and all is love and
It’s easy, yes it’s so easy
At the Butterfly Ball where love is all
And it’s so easy
All you need is love and understanding
Hey, ring the bell and let the people know
We’re so happy and we’re celebratin’
Let your feelings show
Love is all, yes love is all at the Butterfly Ball
Love is big, love is small
Love is free, love is all
At the Butterfly Ball
When you back’s to the wall
When you’re starting to fall
You got something to lean on
Love is everything
It can make you sing at the Butterfly Ball
Love is all, I say love is all, yes love is all
At the Butterfly Ball

pour plus d’info:
http://www.rogerglover.com/home/index.php

bon, ben les aventures de thitho en Italie…

August 21st, 2006

C’est pas spécialement intéressant, donc, vous pouvez toujours passer à la case suivante, mais il faut avouer que c’est méchamment mignon et montre que l’organisation pyramidale, c’est pas encore ça…

(alors pourquoi ne pas essayer l’anarchie?)

Cette nuit, je suis rentré en Italie par Rome. Après avoir attendu mes bagages pendant une heure sans savoir pourquoi ni comment savoir pourquoi ils n’arrivaient pas, je les ai enfin récupérés comme je les avais mis dans l’avion.

Mais ça, c’est rien; c’est le train de Rome à Arezzo qui m’a pris pas mal d’énergie… Déjà, je veux acheter mon billet de Roma Termini à Arezzo; l’appareil électronique seul fonctionnant à l’heure tardive où j’étais m’en donne un qui part de Roma Tiburtina… Un quart d’heure de recherche assidue d’informateur fatigué plus tard, j’apprends que Roma Tiburtina est aussi une station de métro. Les métros romains, ce n’est pas bien gai, mais bon…

Roma Tiburtina… J’ai dû renier mon code d’honneur… Je n’avais mangé qu’une tartelette au maton de toute la journée… Comprenez-moi… J’avais faim, j’avais soif… Le seul truc ouvert, c’était… Un McDonalds…

Ceci est donc une confession: je suis passé au McDonalds… j’ai mangé des machins panés qui prétendaient s’appeler poulet et des frites trop salées… Et j’ai bu un litre d’eau. J’ai été bien puni:

Certes le train est arrivé à l’heure, mais il s’est arrêté à Roma tiburtina pendant pas loin de deux heures: l’air conditionné était en panne; il FALLAIT la réparer avant de partir. C’est vrai que c’était pénible, mais bon. En fin de compte, sans autre information que la rumeur qui passe de wagon en wagon, nous attendons de plus ou moins bonne humeur suivant les minutes…

Jusqu’à ce que deux contrôleurs passent pour prévenir qu’on va partir sans air conditionné…

Et que ceux qui ont des réservations peuvent prendre un bus avec air conditionné…

Ceux avec qui je discutais (une Espagnole et son copain péruvien) sont restés bien sagement dans le train… Et ils ont bien fait: toutes fenêtres ouvertes, l’air conditionné n’est pas du tout nécessaire dans ces trains; il y fait plutôt frais… (on a bien dormi, la lumière ne fonctionnait pas)

Ca m’a fait penser à l’hiver dernier quand j’ai pris un autre train sans air conditionné; il faisait sacrément frisquet et il n’y avait pas de lumière non plus… On aurait dû ouvrir les fenêtres: il faisait sûrement moins froid dehors…

c’est en coréen, mais on s’en tape

August 21st, 2006

http://www.mortecouille.com/index.php?2006/02/01/183-choregraphie

je ne pouvais pas les rater non plus celles-là… Après les crazy frog brothers, j’ai trouvé leurs petites amies coréennes

Quelques semaines plus tard:

Djou a coupé ses vieux liens… Dommage. Bon, en voici un autre pour compenser:

http://www.sambakza.net/

suivez le lien “english”, puis “amalloc”, puis “there she is”