São Paulo, un aperçu
Souvent, les arbres -gigantesques-
Traversent gaiement le tarmac,
Faisant de la cité grotesque
Un paradis pour les hamacs.
On s’attendrait avec logique
À voir dormir deux ou trois aïs
Pendus aux lianes électriques
Qui nous étouffent de travail.
Le ciel est blanc, moins bleu que jaune,
La terre est sèche de ses pleurs;
Heureusement, il y a la faune,
Dont les sourires sont des fleurs.