Le hérisson révolutionnaire Le monde selon thitho

Histoire de faire avancer le schmilblick, et comme il n’y a pas de petite avancée contre le consumisme crétin, je vous transmets toujours ça:

Bonjour à tous,
nous (Laurence Van Belle, Pascale Linard, Lionel Sellelagh, Dominique Leroy, Sandrine Hallet, Geneviève Laloy, Julie Damien, Julie Chemin et Brigitte Bastin) sommes très fiers et heureux de vous annoncer la naissance de notre asbl CAROTTES SAUVAGES.

et de sa première activité…

Vous n’avez pas d’idée de cadeaux de Noël? Ca vous ennuie de faire les magasins?
ALORS Venez en confectionner de vos mains, à partir de matériaux recyclés et naturels dans une ambiance familiale et chaleureuse…

Ce se passera le dimanche 2 décembre au CRIE de Villers la Ville de 10h à 15h
et à Schaerbeek le samedi 8 décembre en 3 tranches horaires 10-13h / 14-17h / 18-21h
Bienvenue à tous, enfants, parents, grands-parents

Ci joint le flyer des ateliers bruxellois et celui de Villers la Ville

Pour plus d’informations, n’hésitez pas 02 215 34 10 ou à l’adresse mail suivante carottessauvages@gmail.com

Ne tardez pas à vous inscrire, les places sont limitées_

Ce sera également l’occasion de vous parler plus longuement de nos projets asbéliens, autour d’un verre de vin chaud ou d’un morceau de tarte salée ou sucrée…

Les arguments pour vous y entraîner sont assez surprenants, mais par contre l’idée est bonne. Quitte à faire des cadeaux à Noël (pffffff va encore falloir faire preuve d’imagination), autant le faire en ne dépensant rien de votre ICC.

Extrait d’une de mes chansons préférées…
Si vous trouvez de qui il s’agit, dites de quel statut je parle…

I was a lonely boy, no strength, no joy
In a world of my own at the back of the garden
I didn’t want to compete, or play out on the street
For in a secret life I was a round head general

I was faced with a choice at a difficult age
Would I write a book? Or should I take to the stage?
But in the back of my head I heard distant feet
Che Guevara and Debussy to a disco beat

Petit proverbe dont la première moitié est due à un ami qui se reconnaîtra et que j’ai complété avec l’humour qui me caractérise et la dérision qui me… heu… caractérise aussi, allez…

Les femmes sont des chaînes
-et les hommes sont des glands

Histoire de faire des titres à la mode du canard Enchaîné. (à propos, ju, je ne t’oublie pas, je dois scanner ces mots croisés)

Bon… Et pourquoi s’il vous plaît? Parce que je découvre une fonction de WordPress qui repère les sites qui me citent… Il y en a un qui fait mon éloge: celui-ci.

Les autres me citent en relation avec le négationnisme sous prétexte que je fais de la pub à une pétition défendant Chávez sur le cas RCTV (ce qui est exact, je le défends… mais le lien avec le négationnisme est plutôt obscure).
C’était ici:
http://banquisetropicale.blog.20minutes.fr/archive/2007/08/05/l-%C3%A9ducation-nationale-soutient-le-n%C3%A9gationnisme.html
mais le texte a été supprimé.
Vous pouvez en retrouver le texte ici.

Puis, il y a un site qui me cite, mais je n’ai pas trouvé où… Je vous invite à aller voir le type de prose que cet Helvète propose, ici.

Quand on voit ce genre de littérature, on se dit… Qu’est-ce qu’on peut bien se dire… voilà toute la question… :S

Bon, c’est encore inconscient, mais c’est peut-être encore plus révélateur, non?

Et le voici avec ses parents:

À l’époque du patriarcat institutionnalisé et indiscutable (je parle de la période qui court de l’antiquité à l’avènement des nouveaux pères), l’homme, le soldat, le chevalier, le roi, avait l’habitude d’engrosser sa bourgeoise, sa duchesse, sa reine entre deux guerres, et de la laisser ensuite seule avec sa quenouille ou son tricot pendant les neuf mois de la grossesse…

Nous voici arrivés à la fin de cette période, certes joyeuse et pleine de surprises, de « oh quel joli ventre » et de « vous êtes sûrs qu’il n’y en a qu’un? »… Mais aussi de « Bien sûr chérie je te ramasse ça, c’est normal que tu fasses tout tomber » et « Des fraises, à trois heures du matin? Sans problème. Avec ou sans sucre en poudre? » Et puis aussi de « Désolé chérie, non, tu as raison, c’est de MA faute si le câble a sauté » et de « Je te promets de ne plus mettre tes humeurs sur le compte de tes hormones ».

Maintenant je comprends pourquoi l’homme, ce faible, ce grand romantique,… ce couard, a inventé la guerre…

Note: le mot prégnance n’est pas à proprement parlé français (en tout cas pas dans le sens où je l’entends là tout de suite), mais je le trouve tellement plus évocateur que « grossesse ».

Note encore: bien sûr, c’est une plaisanterie… si, si…