Archive for the ‘discussions piquantes’ Category

J’ai pas pu résister

Monday, October 15th, 2007

Quel est le point commun entre Fidel Castro et Stefan Edberg?

Ils sont tous les deux sponsorisés par Adidas…
(voir par exemple ici)

Bon d’accord elle est pas légère… Mais, ça lui apprendra aussi à enfiler des trucs capitalistes (d’origine belges, si je me souviens bien)… Je parle de Castro, pas d’Edberg…

Par contre, la grosse différence entre les deux, c’est que l’un a pris sa retraite à 30 ans, multi-millionnaire, adulé, révéré par tout le monde occidental pour ses coups de poignets magiques, alors que l’autre fait encore semblant de travailler à 80 berges, haï et conspué par les mêmes pour ses coups de théatre magiques aussi…

Comme disait Edberg, dans une pub pour Adidas: “It’s a job”. (il parlait du tennis, qu’il comparait avec testeur de matelas, joueur de trombone et essayeur d’ampoules)

Castro devrait demander un contrat à Adidas, sans doute…

C’était bien, chez Laurette…

Friday, October 12th, 2007

Ce matin, histoire de me donner une chance d’écouter une journaliste indépendante (voir le post précédent), je me branche sur tv5… Hop, le 13h de la retebef…

Ça m’a donné l’occasion de sourire (j’aurais bien ri, mais Giu dormait dans mes bras), à la vue de la future ex-ministre de la “Djustisss”, Onkelinx. Le gouvernement sortant de la violette a décidé qu’à partir de l’an prochain, les frais d’avocats de la partie gagnante seront pris en charge par la partie perdante…

Une socialisss qui annonce une aussi bonne nouvelle de droite ça réjouit le coeur.

Heureusement que les gauchisss du CD&V arrivent au pouvoir.

Max Havelaar la peine, tu crois?

Monday, September 24th, 2007

Quel est le point commun entre McDonald’s, Starbucks, Accor, Nestlé, Dagris, Leclerc, Lidl et bien d’autres?

Oui, bon, à part le fait que ce sont des multinationales exploitant sans vergogne leurs employés à des conditions sociales patati et aux marges bénéficiaires patata…

Mais justement…

S’allie-t-on au diable pour le vaincre?

Max Havelaar a dit oui… Max havelaar, la banane et le café équitables dans vingt pays dits du Nord… (Donc, vous l’avez compris, le point commun c’est Max Havelaar qui a des contrats de collaboration avec les sociétés mentionnées ci-dessus)

Max havelaar qui fait maintenant dans le textile -d’où l’alliance avec Dagris qui a sélectionné 3.280 de ses producteurs pour se lancer dans le coton équitable….. Ah, c’est beau comme de l’antique… Surtout quand on sait que Dagris chapeaute 240.000 producteurs… Dans le genre goutte d’eau…

Et je vous épargne encore d’autres gentillesses du même genre -sauf une: Max Havelaar reconnaît elle-même qu’elle paie ses producteurs de café au Mexique 2,18 euros par jour… C’est-à-dire à un prix inférieur que le salaire minimum légal du pays de l’ex-président à la bouteille de coke… (3,28 euros, ce qui n’est dájà pas reluisant)…

Ces critiques, et bien d’autres, je les ai trouvées (et en partie vérifiées) dans le Monde Diplomatique, version brésilienne, de ce mois de septembre, dans un article signé Christian Jacquiau, qui a pondu un bouquin sur la question: Les coulisses du commerce équitable. Mensonges et vérités sur un petit business qui monte, le tout aux éditions Mille et une Nuits, tout frais de l’an dernier.
Je l’ai pas trouvé ici. Il y aura bien une bonne âme pour se le procurer et le confier à Stéphane ou à ma soeur avant qu’ils ne viennent me voir?
(ça fait un peu “Et voici quelques messages personnels” de Radio-Londres… ‘tendez, j’vous fait les Pah-pah-pah-pah)

Ah ben oui, comme disait l’autre affreux, là, dans commerce équitable, il y a commerce… ah ben oui… ah ben… ah ça oui, madame…

Vous n’avez pas assez peur!!!

Tuesday, September 11th, 2007

Il paraît que c’est la crise. Ouais, et ben pas pour tout le monde.
L’écho, le journal financier francophone belge, fait un petit recensement des résultats économiques de la première partie de cette année pour les entreprises dont ils ont pêché les résultats:

http://www.lecho.be/cours/resultats_dentreprises/

positif: CNP, Real Software, Fluxys, Cumerio, Umicore, Leasinvest, Thrombogenics, RTL Group, D’Ieteren, WDP, Recticel, Picanol, Miko, Omega Pharma, Ascensio, Hamon, Inbev, Suez, Metris, U7I Learning, Dexia, Texaf, Sioen, Jensen Group, CFE, Spadel, Befimmo, Tessenderlo, Auximines, CMB, Econocom, Elia, Van de Velde, Sipef, Campine, Deficom, Fountain, Bois Sauvage, KBC Ancora, Atenor, Sofina, IBA (qui parvient encore à se plaindre), Home Invest, Lotus, Resilux, Punch Graphix. (46)

neutre: Kinepolis, Belgacom, Roularta, Serviceflats Invest, Ter Beke, Spector, Punch Telematix. (7)

négatif: distrigaz (il a pas fait assez froid), Keyware (mais c’est dans le plan de carrière), Brantano, Tigenix (pareil, c’est ce qu’on pensait bien), Catala, Punch International (prévu). (6)

Avec des titres amusants:

Sipef: le résultat dopé par l’huile de palme

pas de contrôle anti-dopage?

Resilux profite de la croissance du marché des emballages

Emballez, emballez, il en restera toujours quelque chose…
Ça me rappelle “Le distrait” où Pierre Richard organisait une campagne de publicité pour une entreprise qui fabriquait des étuis pour emballages et des emballages pour étuis… Pierre Richard, visionnaire…

Befimmo: la valeur intrinsèque par action s’élevait à 70,45 euros à la fin juin

Ça étreint sec…

Dexia: bénéfice net 2T en forte hausse, dopé par éléments exceptionnels

Voir plus haut…

Suez: bénéfice net en baisse mais opérationnels “historiques”

L’histoire a bon dos

Picanol a amélioré son bénéfice net de 49% au premier semestre

Á part ça tout va mal…

Le résultat net 2006/2007 de Leasinvest s’envole de 77%

il faut avoir le bras long pour en profiter…

Distrigaz plombé par le réchauffement du climat (premier semestre)

C’est pas les écologistes qui s’en plaindront…

Alien Résurrection

Wednesday, August 29th, 2007

Ça fait un ouvrage d’art que je n’ai pas pondu un truc sérieux… Faut dire que la paternité ça remplit une vie de révolutionnaire (tout s’explique: les couches culottes ont été inventées pour castrer la chienlit). D’un autre côté je découvre que, selon certain journal populaire et de prétention “neutre” (reconnaissez le vespéral qui ne l’est plus), la Belgique est en anarchie depuis près de trois mois.

Que ne me l’avait-on dit…

Mais que fais-je donc ici alors que la Sociale internationale et sans entrave est en route aux marches du palais de ce bon vieil Albert, lui qui semble tout faire pour retarder l’échéance fatidique de la formation d’un gouvernement… (Albert rime donc avec libertaire)

Et, en attendant, comment se porte l’économie? Mais comme un charme, marquise! On parle de crise (depuis 1973 sans discontinuer, mais ça c’est uniquement pour ponctionner sur les augmentations de salaires, indues, imméritées, castratrices de marges de profit et totalement anti-libérales -encore que, ça reste à prouver, monsieur Friedman), mais les gens semblent tarder à faire des provisions de sucre, de farine et de rutabaga… La consommation, la croissance, ça n’excite peut-être finalement pas autant que ça devrait le bon peuple…

Bref, dans le même temps, c’est hiver à 20 degrés ici, et il paraît que vous subissez crachin sur crachin? consolez-vous! Votre anarchie -qui n’en est malheureusement pas une- mâtinée de sinistrose belgitudinienne se porte en réalité remarquablement bien. La prétendue baisse de confiance des entrepreneurs ne gâte pas trop le marché (le Bel20 n’accuse pas de baisse significative et, sauf erreur, les capitaux ne fuient pas le pays qui reste l’un des principaux pôles d’attraction des investissements dans le monde).

Amis belges, que vous deveniez demain citoyens de bantoustans linguistiques ou non, reconnaissez-le haut et fort: dans ma grisaille hyper-consommatrice, je suis un privilégié et je peux sans souci contracter un domestique au noir ou une grippe espagnole sans grande crainte d’en souffrir réellement… Le monde est ainsi fait que la Belgique et ses forêts gauloises étaient destinées à se repaître de la misère des trois quarts de la planète en se plaignant de leurs petits problèmes ‘lingwistiques’… Ça fait vivre des Leterme et des Langendries, dont les noms ont sans doute été échangés à la naissance…

“On ne se refait pas”, dit le dicton populaire…

Et bien alors, ce n’est pas pour demain, l’anarchie…

Faire du neuf avec du vieux…

Sunday, August 26th, 2007

Une petite photo qui, si vous ne l’avez pas remarqué, a été prise en plein hiver (huhu):

du neuf

Oui, ce n’est pas un mécanicien qui vous propose de mettre votre voiture à neuf, mais bien “l’église de la pierre vivante; quelque chose de neuf dans votre vie”

Vu de près c’est déjà sexy et l’architecture est particulièrement savante (vous avez noté les frondaisons et les colonnes pseudo-doriques?). De loin, ça vaut le coup d’oeil aussi:

encore du neuf

y’a pas à dire, j’ai le choix pour ma conversion…
Sans parlé du baptème de Giu… Je recherche encore le meilleur rapport qualit… bonheur/prière…

Henry Potier et les navets magiques -lecture très dispensable

Saturday, July 28th, 2007

je n’étais pas le seul à pressentir dès le début que le phénomène Potter allait être envahissant et contre-productif.

Les arguments du genre “Sans lui certains ne liraient pas” et “on a bien le droit de rêver” me laissaient pantois. On devait donc se réjouir que les gens lisent ça plutôt que rien. On devait donc se féliciter que le rêve se vende comme des paquets de lessive -à coups de pub!

Dans le même temps, des gens plus compétents que moi mirent en lumière les mécanismes du succès de la daube (dans le Monde Diplo, notamment). Les critiques fusèrent, les défenses aussi… Harry Potter se mit à mériter de paraître… je veux dire de paraître plus qu’il n’est: une histoire pour enfants qui plaît aux adultes et qui a été médiatisée à tel point que Melville, Balzac et Cervantès seront au total sans doute moins lu en un, deux et quatre siècles (respectivement) que la JK Rowlings en dix ans…
Je suppose que les thèses de doctorat à son sujet commencent à pleuvoir…

Ma question est:
doit-on réellement se réjouir que des gens “qui ne lisent pas d’habitude” dévorent Harry Potter, au prix d’une énergie médiatique dantesque (à propos de bonne littérature peu lue…) et d’une invasion publicitaire jamais égalée (dans mon souvenir) pour un bouquin qui, si je ne m’abuse, ne changera guère le cours de l’histoire…

Qu’on ne se méprenne pas: je n’ai rien contre la littérature enfantine, au contraire. Mais je me désole (une fois de plus et pour un sujet de plus) que notre paysage médiatique se retrouve asphyxié par quelques phénomènes vaguement bien écrits, même pas spécialement originaux, et sans que cela ne permette de croire qu’enfants et adultes fans de la chose passent à autre chose ensuite… Ou alors je veux des résultats d’étude!

Une autre question est: dans un monde comme le nôtre où les enjeux sont tels que les gens devraient se tourner vers des sujets un peu plus graves (environnement, politique, social), un phénomène “de société” comme Harry Potter, terriblement innocent sur le plan idéologique, n’est-il pas totalement contre-productif? Je crois malheureusement que si…

L’enjeu, c’est de faire passer un gamin de Oui-Oui au Club des Cinq, puis à l’Ile au Trésor, avant de suivre avec des livres sérieux -et moins sérieux…
Mais que des adultes se passionnent pour un arbre creux accessible aux moins de dix ans, ça me dépasse…

Mais bon, avec ça, plus on parle, mieux Harry se porte, donc je ferais aussi bien de la fermer (je lis déjà les réponses: “Ouais t’aurais mieux fait de la fermer”).

Pas de demi-mesure!

Thursday, July 26th, 2007

lu sur la première page du Soir en ligne, qui se distingue décidément par une déontologie de plus en plus raffinée:

Symboliquement et jusqu’à l’arrivée à Paris dimanche, vu le soupçon généralisé qui pèse sur le Tour, « Le Soir en ligne » ne publiera plus que des photos en noir et blanc des vainqueurs d’étape et des porteurs de maillot jaune.

Ça me ferait presque penser à “la liberté de penser” de Florent Pognon…

encore un qu’on ne pendra pas…

Friday, July 20th, 2007

Pol Boël est mort…

Au-delà de son insignifiance, un doute m’assaille: le jour de la révolution, que ferons-nous
1) des sociaux-traîtres?
2) des libéraux?
3) des membres du PS? (à distinguer des sociaux-traîtres, naturellement…) :p
4) des présentateurs télé (à l’exception d’une si elle le devient)?
5) des fonctionnaires de la FGTB (à l’exception d’un ou deux)?
6) des supporters du Standard et des équipes néerlandaise et italienne de foot (à l’exception de deux qui commencent à échapper à pas mal de purges)?
7) des cuisiniers de Chez Léon?
8) de la famille royale?
9) de moi?

je vous suggère donc de vous prononcer sur cet épineux problème: celui du “monde d’après” la sociale…

essayez de répondre en respectant la numérotation, hein! “Je suis pour la liberté, mais dans l’ordre.” (Michel debré)

la démocratie du travail

Thursday, July 12th, 2007

dans le livre de Wilhelm REICH, Psychologie de masse du fascisme, dont j’ai lu l’an dernier l’édition 1972 de chez Payot (en traduction donc), on trouvera p. 27, une définition intéressante:

“Démocratie du travail. La démocratie du travail n’est pas un système idéologique; elle n’est pas non plus un système “politique” qui pourrait être imposé à la société humaine par la propagande d’un parti, de politiciens ou d’un groupe partageant une idéologie commune. La démocratie naturelle du travail est la somme de toutes les fonctions vitales régies par les relations rationnelles interpersonnelles qui ont pris naissance, qui ont grandi et se sont développées d’une manière naturelle et organique. La nouveauté de la démocratie du travail réside dans le fait qu’une régulation future possible de la société humaine a été dégagée pour la première fois dans l’histoire de la sociologie non pas d’idéologies ou de conditions devant être créées, mais de processus naturels qui ont existé et se sont développés depuis toujours. La “politique” de la démocratie du travail est caractérisée par le fait qu’elle rejette toute sorte de politique et de démagogie. Les masses laborieuses loin d’être affranchies de leur responsabilité sociale en seront au contraire chargées.

La définition se poursuit et je vais la retranscrire tout de suite, mais je désirais faire une pause ici. Les italiques sont de Reich; par contre, c’est moi qui souligne. Pourquoi précisément ces passages? Comme toute définition, elle ne peut exister qu’en son ensemble et il ne saurait être question d’en retirer une partie arbitrairement. Ce n’est pas le but, mais les deux passages soulignés sont remarquables dans leurs intentions particulières.

Le premier mène à l’affirmation que la démocratie du travail est un fait, non une construction; elle s’exerce dans les relations entre travailleurs qui admettent l’égale considération du travail de l’autre. Je ne suis pas trop accroché par le terme “naturel” qui lie ces relations. Selon moi, le terme naturel est assez osé et il ne m’importe pas de savoir si oui ou non une démocratie humaine repose sur une existence naturelle ou non. La guerre comme la paix, l’égalité comme l’inégalité, la dictature comme la démocratie sont des phénomènes humains; qu’ils soient culturels ou naturels, je fais mon choix parmi eux. Si un jour quelqu’un me montrait que la démocratie, la paix et l’égalité sont des choix culturels contraires aux réalités naturelles, je n’en ferais pas moins le choix de ces trois-là contre les trois autres.
Par ailleurs, le côté central du terme “travail” me gène un peu dans cette définition, sans pour autant que me vienne à l’esprit l’envie de contester sa valeur générale. Le travail et les travailleurs étaient logiquement au centre des préoccupations de l’époque de l’écriture de Reich, époque où contester le travail était une hérésie des deux côtés de la guerre froide; et puis Reich est tout de même encore très influencé par la force de frappe marxiste…

Le deuxième passage souligné est, lui, véritablement d’actualité dans sa problématique: si Reich aujourd’hui serait sans doute heureux de constater le progrès de la liberté sexuelle (encore à poursuivre), il ne pourrait qu’admettre que la responsabilité sociale n’est pas plus entre les mains des bases sociales qu’auparavant.
Nous sommes donc encore loin de la démocratie du travail vue par Reich. Ce qui n’empêche pas que son aspiration m’apparaisse légitime et désirable, en effet.

Suite de la définition:

“Les démocrates du travail ne briguent pas des postes de “fürher”. La démocratie du travail développe à bon escient la démocratie formelle caractérisée surtout par l’élection des délégués politiques et n’implique aucune autre responsabilité de la part des électeurs, la démocratie du travail est une démocratie authentique, effective et pratique, conçue sur une base internationale. Cette démocratie repose sur les fonctions de l’amour, du travail et de la connaissance et se développe d’une manière organique. Elle combat le mysticisme et l’idée d’un Etat totalitaire non par une attitude politique, mais par les fonctions vitales pratiques qui obéissent à leurs propres lois. Bref, la démocratie naturelle du travail est une fonction bio-sociologique naturelle et fondamentale qui vient d’être découverte. Elle n’est pas un programme politique.”

En bref, la démocratie du travail envisagée par Reich est la simple application des coopérations qu’il estime naturelles (moi, moins, mais qu’importe). Si ces coopérations ont surtout lieu dans le travail humain, Reich précisera sa pensée au long du livre sur ce qu’il appelle le travail, ou du moins sur le travail digne d’intérêt et porteur de démocratie.
Sera considérée comme travail toute occupation utile ou nécessaire à la vie humaine. En sera donc exclue toute activité neutre ou nuisible à la vie humaine… Mais ceci, c’est presque la conclusion du livre. Entre-temps, Reich passe en revue les techniques utilisées par tout pouvoir autoritaire convaincu de sa légitimité pour conserver sa force. Ces techniques semblent résolument concentrées autour du concept d’économie sexuelle.
L’anxiété, le manque, la frustration, fondés sur les interdits, les codes, la morale, tous plus émotionnellement et irrationnellement marqués, conduisent hommes et femmes vers la soumission apparemment délibérée à l’autorité. Reich montre que l’histoire du fascisme (au sens large, qu’il ne limite pas à ce qu’il connaît directement au cours des années 20 et 30) se nourrit de cette économie sexuelle à contre-sens de la vie.

Je viens encore de voir “Angela’s Ashes” de Alan Parker, qui évoque la répression morale en Irlande dans les années 30′ et 40’… Ça parle directement…