qui a dit -III

Parlant de ses négociations avec le gouvernement (de son pays) et de ses demandes d’arrêter la violence, (un célèbre résistant) écrit :

« Je répondais que l’Etat était responsable de la violence et que c’est toujours l’oppresseur, non l’opprimé, qui détermine la forme de la lutte. Si l’oppresseur utilise la violence, l’opprimé n’aura pas d’autre choix que de répondre par la violence. Dans notre cas, ce n’était qu’une forme de légitime défense. »

Pour le Qui a dit précédent, il fallait répondre Gandhi, comme certains l’ont deviné (voire tous? Petits blagueurs…).
C’était effectivement facile, mais je le reprenais surtout, ainsi que celui de Freud, par souci de relevé historique sur ces personnalités qui s’étaient affichées défavorables à la création de l’État israélien… Probablement par antisémitisme primaire… Enfin, c’est mon analyse, utilisant la grille Adler-Val-Lévy.

One Response to “qui a dit -III”

  1. Un Homme Says:

    Un indice, la citation a ete utilisee par Alain Gresh recemment 😉

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