le métro, tu l’aimes ou tu le quittes.
Dans deux articles tout récents, lejim.info vous proposent un petit voyage au pays du service “public” des transports bruxellois.
Il y a d’abord un article de mes amis Franz et Tofer, ici:
Privés de vie privée, mais qui élargit la question au-delà de la STIB.
Et ensuite un autre commis par une représentante du peuple (mais à la limite c’est pas tout à fait de sa faute, c’est surtout de celle de qui ont voté pour elle…), Céline Delforge:
STIB Brother.
Il faut se faire la réflexion suivante, un grand coup ((Avant que je ne parvienne à mettre fin à ce traité que je vous ai déjà promis quelques fois, et qui, j’en suis certain, vous convaincra une bonne fois pour toute.)), et remettre en question un point essentiel des politiques sociales-démocrates, telles que pratiquées en Belgique:
Après le recul des mouvements-ouvriers-et-sociaux-qui-ont-bien-cru-que-ça-y-était-que-c’était-arrivé-le-socialisme-sans-les-chars, dans les années, disons 50′-60′, est-ce que les gouvernements de nos belles régions de l’Europe de l’Ouest se sont-ils encore souciés de services publics ou bien ne se limitent-ils pas à recadrer ceux-ci en services d’État?
Surveiller et punir, disait Foucault, Michel…
Cochez la bonne case:
les choses sont-elles pires-identiques-meilleures-ne se prononce pas- qu’il y a cinquante ans?