Excuse bibendum… pardon, bidon
Couplant mon récent post affirmant mon séparatisme, de circonstance et petitement ironique, et cette petite info qui n’en est guère une, indiquant que le nouvel homme fort (sic) de Flandres se mettait aux ordres du patronat (comme si certains de ses collègues…), je réaffirme simplement qu’une bonne scission permettrait au moins d’y voir clair dans les prétendues rotomontades du récurrent Premier wallon qui se prétend socialiste et dont on ne voit guère concrètement la couleur.
Il est évident que ce petit billet d’humeur est hautement rhétorique et que je n’attends point de l’homme au noeud pap’ la moindre ré-avancée sociale… Car Di Rupo et le Parti Socialiste sont co-responsables, avec tous leurs collègues du PS européen, de la dédémocratisation de la sphère Europe. Ce que le mouvement social de base disait déjà avant Maastricht, réitérait à chaque contre-sommet (en dépit des accusations de nationalisme ou de fascisme de nos grands humanistes, tels Verhofstadt en 2001), repris aujourd’hui par les seuls partis d’extrême-gauche (et par les anars, naturellement), est toujours valable: une Europe ne pouvait se construire sur le commerce et la finance sans devenir anti-démocratique ((S’il était besoin, le règlement en cours (pas certain) de la crise, sur base de “rigueur” et d'”indépendance de la Banque Centrale” ne fait que le démontrer.)).
Du côté du drapeau rouge (qui ne mérite plus de l’être), on essaiera sans doute de nous faire croire que la droite est régionaliste, séparatiste et que donc l’Union, voire l’Europe ((Mais De Wever est-il contre l’europe?)) seraient des remparts sociaux. Cela ne pourrait l’être que si les forces sociales, partis et syndicaux, retrouvaient leur caractère international, altruiste, solidaire, en front commun. Cela ne pourrait arriver que sans les têtes de gondole de tous ces ensembles.
Et donc n’arrivera pas. Ni avec ces partis, ni avec ces syndicats.
Dont acte.
Le plus drôle dans cette histoire, c’est que c’est parce que je suis internationaliste et pour une solidarité mondialisée (et donc opposée à la mondialisation commerciale et financière imbécile, anti-environnementale et anti-sociale) que je deviens confédéraliste ((Notons que le confédéralisme est depuis longtemps -au moins Proudhon et Godwin- une caractéristique de l’anarchie qui prétend que la démocratie devant commencée depuis les localités et horizontalement ne peut se réaliser que dans la confédération ou sous d’autres appellations, communalisme, mutualisme, etc.)). Ridicule? Allons donc, qui est ridicule depuis… depuis quand déjà?
August 22nd, 2010 at 5:57 pm
test de commentaire
August 22nd, 2010 at 5:58 pm
autre test
August 22nd, 2010 at 6:00 pm
No comment
August 22nd, 2010 at 6:02 pm
Nothing to say